JdR:La Couleur des Roses/1 - Encyclopédie/Religion et Traditions/Les dieux et la religion/Bâtiments religieux

De Magnus Codex
La Couleur des Roses

Bâtiments religieux

Aucune sous-page

Les dieux sont révérés sur Rosarya, et même si aucun lieu religieux n'est requis pour faire la prière, l'invocation ou la libation, les humains ont construits nombre d'édifices comme lieux de vénération, qui sont aussi des lieux de regroupement communautaire et de recueillement.

Les lieux de prière et d'invocation

Les autels

Les autels peuvent prendre diverses formes, et on peut littéralement en trouver partout sur Rosarya (même sur les mers).

Les autels peuvent être dédiés aux dieux d'en-haut, aux dieux d'en-bas ou à un ou plusieurs dieux du centre (ces derniers sont les plus courants).

Les plus simples sont fabriqués à partir d'une unique pierre dont une des surfaces est polies et où sont gravés le nom et le domaine du dieu ou de la déesse dédiées. Mais les formes plus courantes sont les suivantes :

  • Une ou plusieurs pierres de taille respectable taillées (en fonction du nombre de dieux honorés), réparties en arc de cercle autour d'une coupe en pierre, en métal ou en bois, servant à recueillir les offrandes de nourriture. Chaque pierre est surmonté d'une statuette ou gravée d'une figure qui représente de manière abstraite le dieux ou la déesse, et le texte gravé sur chaque pierre donne le nom et une prière pour lui ou elle (cette forme est plus répandue dans les campagnes et dédiée aux voyageurs). Les offrande peuvent être de toute nature et sacrifiées de n'importe quelle manière. Offrir la nourriture dans le réceptacle est une manière de l'offrir aux animaux sauvage, ce qui est très apprécié de beaucoup de dieux locaux.
  • Une structure faite de bois, de pierre et/ou de métal, bien entretenue et décorée par les ecclésiastiques, souvent protégée de la pluie par un toit. Plusieurs tablettes gravée donne le nom et la prière associée à chaque dieu du centre honoré. De petit œuvres artistique sont exposées pour symboliser ces dieux, offertes par la population. Parfois on trouve un petit puis creusé dans le sol pour y jeter les sacrifices, ainsi que des emplacement pour y allumer des bougies et laisser une trace rémanente de son passage. (cette forme est plus répandue dans les villes et les villages, pour des hommages quotidiens ou ponctuels)

Les autels aux dieux d'en-haut et aux dieux d'en-bas, bien que plus rare, existent également, en particuliers dans les lieux de fortes intempéries ou de fréquents passage. Les principales différences sont que les textes gravés sont plus sobres (et ne contiennent évidemment pas le nom des dieux honorés) et ne cherchent pas à symboliser les dieux de manière abstraite. On lit plutôt des inscriptions du genre "Que les dieux d'en-haut me sourient", ou encore "Dieux d'en-bas, protégez-moi du malheur". Les autels des dieux d'en-haut sont tournés vers le ciel, et ceux de dieux d'en-bas sont creusé légèrement dans le sol.

anecdote

Les autels marins les plus connus sont ceux des quatre portes du Golfe Étoilé, qui sont des bouée attachées à plusieurs récifs et dont l'inscription en grosses lettres lit "Toi le Marin/ Prie l'Étoile/ Déesse du Golfe".

Il est coutumier pour les marins qui passent les portes scrutent un tel autel et effectue une prière pour bénir leur voyage dans le golfe ou remercier la déesse de sa protection (en fonction du sens dans lequel on passe les fameuses portes). La superstition stipule que si on a pas vu d'autel lors du passage, le voyage sera mouvementé.

D'autres autel de ce genre son disséminés sur les mers, en particulier aux endroits où ont eu lieu des nauvrages.

Les pavois (ou pavillons)

La pavois sont des bâtiment entièrement dédiés au dieux d'en-haut et/ou d'en-bas. On les trouve généralement en ville, et il n'est pas rare que pour les villes les plus grande, deux pavois honorant respectivement les dieux d'en-haut et d'en-bas coexistent à des points opposé du bourg. Il est mal vu d'avoir plusieurs bâtiments au sein d'une même communauté qui honorent le même groupe de dieux (on peut cependant l'observer dans les villes qui sont issues d'une fusion de deux communautés).

Les pavois sont sombres et le silence est imposé dans ces lieu, pour respecter le recueillement de chacune. La prière se fait donc dans le silence ou en murmurant. De même, on n'y apporte pas de source de lumière.

anecdote

Pour beaucoup, ce silence réglementaire symbolise le fait qu'on n'invoque pas ces dieux-là.

Souvent, les pavois sont aménagés avec du mobilier, mais il n'y a que rarement de symbole ou d'inscription vers lesquels se tourner en particulier, représentant l'omniprésence de ces dieux-là.

Il n'est pas impossible de s'y rendre en groupe ou en communauté, mais les préparation doivent être bien faite, car si un seul individu prie de manière différente des autres, cela peut appeler l'ire des dieux concernés.

Les temples

Les temples sont généralement plus grand que les pavois, car ils rendent hommage à tous les dieux du centre qui concernent la communauté. Il sont souvent richement décorés, et beaucoup de détails associés aux dieux concernés (gravures, inscription, statuettes, tapisseries) sont exposé pour les décrire.

Les temple sont souvent le siège de rites communautaires non-religieux (comme les jugements, les mariages, la célébration des naissances, etc.) et l'aménagement peut évoluer d'un évènement à l'autre. On y pratique librement la prière, l'invocation et le recueillement.

Les sanctuaires (ou cathédrales)

Les sanctuaires sont rares et réservés aux plus grandes ville, généralement les capitales des duchés. Ce sont d'immenses temple à l'architecture recherchée et dispendieuse où sont honoré tous les types de dieux.

Les trois type de dieux sont séparé dans trois ailes différentes du bâtiment, aménagé en forme de + ou en forme de Ψ, avec toujours les dieux du centre au milieu.

Encore plus que les temples ce sont des bâtiments de regroupement commentaire et d'assemblée, tout en servant, par leur aménagement et leur décoration, à témoigner de la richesse du duché.

Les sanctuaire peuvent coexister avec des pavois sans que cela soit mal vu.

Les lieux d'inhumation

Chaque tradition a ses propre moyens d’honorer les morts, et certaines d'entre elles construisent des bâtiments pour cela.

La fosse de commémoration (Foi)

Tous les rituels mortuaire de la Foi sont fait dans un temple ou devant un autel. À l'issue de ceux-ci, l'officiant de l'inhumation collecte un médaillon de commémoration, qu'il place dans une jarre dédiée. Les jarre pleines sont enterrée dans la fosse de commémoration, qui est un petit lopin de terre meuble dédié à cet usage.

On les trouve généralement proche des autre bâtiments religieux.

La chambre de Veille (Shamanisme)

Il s'agit d'un bâtiment où se déroule la première partie des rites funéraires pour les shamans (la "Veille"), où le corps du défunt est exposé et où quiconque peut venir discuter du défunt et de sa vie.

Le rite qui s'ensuit (la "Liesse") est une fête en l'honneur du défunt et se passe autour de ce même bâtiment. Seuls la famille et les amis proches sont conviés.

Les fosses communes (Shamanisme)

C'est dans des fosse commune que sont enterrés les shamans morts de manière prématurées.

Les momies-totem (Shamanisme)

Quand un shaman atteint sa mort séculaire, il est momifié dans de l'argile, intégré à un totem, et exposé en décoration au village. Ces totems sont réputés protéger les habitant des fléaux et des maladies.

Les mausolée du désert (Linguistique)

Il s'agit de bâtiments complexes où reposent les défunts diseurs. Chaque mausolée est immense et contient de nombreuses familles, et chaque individu a son propre tombaux.

Les enfants qui meurt sans être mariés sont inhumé dans la même chambre que leurs parents, et les couple mariés sont inhumés ensembles.

Des réaménagement sont souvent fait pour que les familles restent aussi proches que possible malgré leurs mariages.

Les bûchers de joie (Expressionniste)

Ce sont d'immenses structure en bois qui sont au centre des villes expressionnistes et qui servent de feu de joie lors de fête, et de bûcher de crémation lors des funérailles.

Les feux de joie funéraires peuvent être pratiqués même en étant nomade, mais le terme "bûcher de joie" fait référence à des structures inflammable permanentes qu'on trouve dans toutes les ville des nations interprètes, et qui sont entretenues pour toujours pouvoir être allumées de nouveau.

Les cimetières (Arcanisme)

Il s'agit d'immenses étendues à ciel ouvert où sont enterrés les arcanistes après leur mort, avec une stèle faisant mention de ses accomplissements de son vivant.