JdR:L5A:Campagne des Éléments/Quêtes/Chapitre 2 - Sur les traces du futur/2.3 - Vers le Crabe/2.3.6 - À Inoshishi Shimura

De Magnus Codex
L5A:Campagne des Éléments

À Inoshishi Shimura

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Kyuki nous a demandé de nous arrêter là, car c'est ici que se trouve Sentama.

Il faut faire attention aux feux follets: là où ils se trouvent sont les coins dangereux du marais.

Il y a eu des secousses, des tremblements de terre sur la route (2 brefs mais intenses, un léger). Les kamis de la terres étaient agités, on s'est dits que méditer à ce moment là était un bon moyen de comprendre comment c'est lié à nous et à notre autre vie.

Nagare et Takemi sont partis avec les deux Heimins pour voir si le village n'a pas besoin d'aide, tandis que je restais pour méditer et Kyui restais avec moi pour me protéger.

Dans mes autres souvenirs, je ressens le tremblement, mais incroyablement plus intense, et une montagne qui se brise. Le Maître nous dit que Rokugan ne pourra pas en supporter un autre. Le scorpion au coléoptère nous dit "Bon, il est temps d'aller tuer un Kaiju".

La montagne qui s'est brisée est une que je connais bien, et la même de laquelle on est ressortis d'une épreuve dans un autre rêve.

Nous avons pu aider au village. Nous avons rencontré le vrai Sentama. Takemi a visiblement des griefs contre lui et Kyuki s'est jeté dans ses bras.

L'histoire de Sentama est la suivante : Sentama et tombé éperdument amoureux d'une heimin, Enko. Afin de pouvoir vivre la vie qu'il voulait, il a demandé à Kyuki de prendre sa place, en l'aidant à l'aide d'un rituel lui donnant son visage, ainsi que Navi qui était une mine incommensurable d'informations.

Le soir, Nagare a croisé quelqu'un venu de son passé : une jeune femme, heimin, avec un ruban bleu et une plume moineau. Ils discutent.

Enko nous a parlé d'un problème au village. Un nouveau percepteur, nommé Hiruma Dazai, abuse de son statut et fait des demande beaucoup trop importante (et Enko est persuadée qu'il en prend une partie pour sa poche).

DRAMAAAAA

Nagare s'est énervé quand j'ai menacé de le provoquer en duel quand il a insulté Sentama, le traîtant de lâche.

J'ai expliqué qu'en ayant sauvé la vie de Kyuki et qu'ami de celui-ci il avait mon amitié. J'estime que par ses actes il ne la démérite pas.

Je ne suis pas en désaccord de fond avec Nagare, mais il n'a pas l'air de le comprendre.

On a parlé avec le précepteur, qui ment comne un arracheur de dents. Il a deux plumes de moineaux, qui sont fortement liées à son discours.

Après l'avoir confronté et lui avoir exposé ses possibilité, nous avons décidé de l'exiler chez les Kitsune. Le daimyo nous a remercié.

Avec Kyuki, nous avons fêté ses retrouvailles avec Sentama, avec aussi Enko qui s'est jointe à nous.

J'ai eu une vision.

La Salle des Éléments, du sang jusqu'aux chevilles. Des symboles partout. Sur un mur, le premier symbole est complété. Je vois les autres mais je ne m'en souviens plus. Ils passent par moi, et le passage est de plus en plus grand. Quand je me suis réveillée, j'avais dessiné le premier symbole au complet ainsi que le début du deuxième, qui s'inscrit dans le symbole du Vide. Pendant la transe, j'ai eu des symbole Mahou sur la tête. J'ai oublié le dernier kouhan que j'ai composé.

Je perds la mémoire, le Vide consomme. Les sceaux s'ouvrent peu à peu.

On a théorisé tout ça : les symboles sont en céleste et il y a plusieurs personne derrière ça (les ancêtres touchés par la malédiction).

On s'est rendus compte que "kaiju" signifie "incarnation de l'élément".

Kyuki et moi avons eu un rêve.

Nous étions tous les deux avec notre amie Utaku. Nous sommes sur une colline, habillés en jolis kimonos, en train de regarder les feux d'artifice fusant d'un festival en ville. Nous buvons et mangeant agréablement. L'Utaku nous fait part de son sentiment de proximité envers nous, parce que nous sommes tous les trois des étrangers (par la culture, le royaume ou la famille). Elle pensait que c'était quelque chose d'important, qui nous forgeait, et utile à notre quête. Nous avons échangé sur ces expériences. Puis elle a spéculé que cette qualité d'étranger viserait à les protégeait.

Elle me manque.