Épilogues

Dans cet ordre :

Vivi

Elle succède à Lim à la tête du pays.

Elle continue à chercher Lim mais sans succès.

Nini-Falbaque lui explique qu’elle doit tourner la page. Il lui propose de faire publiquement le deuil de Lim, en expliquant au peuple qu’elle était son amante et qu’elle poursuivra son œuvre. Ça l’aidera à cope.

Elle a envie de se suicider, mais ne le fait pas par devoir. Falbaque le remarque (une dague lootées plus tôt dans l’histoire a disparu, et il sait que c’est Vivi qui l’a choppée).

Ambiance souhaitée : douleur, deuil

Daress

Il reprend ses voyages, et aide un jeune homme un peu sot qui n’a pas remarqué que c'était un guide, un Juge Suprême. Il lui fait un discours à base de “La vie est une pute, tu ne doit rien à tes parents, tu dois arracher ton propre bonheur.“ et est content d'à quel point ce voyage l’a fait grandir.

Le groupe lui manque, en particulier Vivi.

Un peu plus tard, il arrive dans une ville. Il est content, car le lendemain c’est le jour de ses quatre-vingts ans, et il compte déposer l’insigne de Juge Suprême pour devenir un simple guide itinérant (empli de sagesse). Il remarque trois voyous qui agressent un jeune homme. Pour son dernier acte en tant que Juge Suprême, il compte stopper cela. Mais les voyous ne reconnaissent pas son autorité et l’attaquent. Il les bat assez facilement, mais il constate qu’une égratignure qu’ils lui ont faite est très douloureuse (poison). Il lance sa lance pour abattre le dernier qui était en train de s’enfuir, puis se prend un ultime coup de stylet dans le ventre, d’un des voyous blessés qui faisait le mort. Le poison oeuvre, il ne peut plus marcher ni crier, et il meurt au milieu des voyous blessés, étonné du fait que le voyou préférait mourir et l’emporter dans sa tombe plutôt que de survivre et être jugé.

Il a toujours pensé qu'il allait mourir dans son exercice, mais la seule fois où il s'est permit de penser qu'il pourrait prendre du repos il se fait tuer.

Ambiance souhaitée : mélancolie, amertume, justice/injustice.

Cautère

Il constate que les démons sont de nouveaux de plus en plus stigmatisés depuis la disparition de Lim. Il fait un discours publique expliquant clairement le cercle vicieux de la société humaine. Il est hué.

Les mentalités ont progressé, mais pas beaucoup.

Nini-Falbaque lui trouve une cabane isolée de tout, dans laquelle il s’enferme avec tous les livres de Lim. Il dit qu’ils se reverront peut-être, quand il aura finit de tout lire. Falbaque plaisante en disant qu’il espère que ce sera avant son centième anniversaire.

Ambiance souhaitée : fatigue.

Sarestide

Elle est paralysée. Elle est recueillie par une moniale montagnarde, qui l’aide. Sarestide lui raconte avidement l'épopée de Lim. La moniale lui propose d’en faire un livre. Ses deux seules occupation deviennent d'écrire leur épopée et de cultiver des roses oranges et azur.

Son gardar est une épitaphe pour Lim et leur aventure.

Ambiance souhaitée : espoir, sérénité, repos.

Lim

Point de vue d’une jeune fille inconnue.

Dans le “cycle” suivant (implicite), très tôt dans l’histoire (Premier Âge), Lim prend la forme d’une vieillarde, immortelle, qui parcours les villes et villages pour guider les gens et faire en sorte que le cycle suivant se passe mieux.

La jeune fille la “reconnaît” en disant que sa grand-mère a déjà croisé une vieille femme de son genre, il y a longtemps.

Elle est très mélancolique de ses compagnons mais est complètement dévouée aux nécessiteux.

Ambiance souhaitée : ambigu et ambivalent. Mais Lim est toujours là.